top of page
Rechercher

J'ai pas les codes

Ce post est signé par Valérie et Pascal

Nous avions découvert Cristelle Petitcollin en lisant "Je pense trop"

mais elle va plus loin dans son nouveau livre "J'ai pas les codes" que nous avons d'abord découvert lors d'un déplacement en voiture dans le podcast de l'excellente Anne Ghesquière dont vous trouverez le lien à la fin de cet article.





L'enjeu... accueillir nos différences

et ainsi mieux se comprendre et mieux comprendre le monde qui nous entoure.

Pour ceux qui se reconnaîtront dans ce très large éventail de personnalités qui représente environ 20% de la population et regroupe les "dys" (dyslexiques, dysortographiques, etc.) ; les "hyper" (esthésiques, sensibles, actifs), les gens qui ont une pensée complexe arborescente et même, nous dit Christel Petitcollin les autistes.

Lisez ou écoutez ce podcast car la vie est plus simple en effet quand on a les codes.


Pourquoi est-ce si compliqué pour les surefficients ?

Oui, le sujet est en effet "normaux-pensants et surefficients" les vocables sont nombreux (on parle aussi de neurotypiques et de neuroatypiques). Il est question de cerner, la difficulté des seconds à vivre dans un monde qui en réalité n'est pas adapté à eux. Tout simplement parce que la vie, les codes, les études, les us et les coutumes sont plutôt élaborés par les 80% de la population qui sont neurotypiques rien de péjoratifs ni dans un cas ni dans l'autre, juste une prise de conscience.


HP, surdoués, zèbres ?

Ils en font partie mais ce qui nous a beaucoup intéressé dans le propos de Cristel Petitcollin c'est de comprendre que le Qi n'est pas ou plus le bon outil, il ne prend pas en compte le coefficient émotionnel. Le Qi ne concerne que 2% de la population or il s'agit d'une moyenne. Qui ne prend donc pas en compte une grande partie de toutes ces personnes (les surefficients) qui n'ont pas toujours une "moyenne" élevée mais en revanche pètent les scores dans certains registres et donc sont absolument concernés pas cette difficulté à s'adapter, à déchiffrer voire à refuser les codes.


Un exemple : l'expérience faite sur les dyslexiques

Une grande orthophoniste qu'évoque Anne Ghesquière dans le podcast a élaboré le langage de la bylexie, un texte illisible pour nous, les dyslexiques lisent ce texte. "bein au dlea de ce pniripce qui preemt au crveaeu de cirroegr un txeet dnot sluees les pemreiers et deenriers ltteers snot à la bnnoe pacle :o). Une clé de compréhension proposée : pour le dyslexique, la lecture est trop simple et son cerveau à besoin de plus de complexité.


Voici le lien, bonne écoute, c'est passionnant !


bottom of page